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27/12/2009

Bulles catalanes

Le temps des Fêtes, c'est le temps des bulles. Les bulles du champagne... ou celles des autres mousseux. Comme le cava, ce vin élaboré en Espagne selon la méthode champenoise, mais  qui n'a pas le droit de s'appeler champagne, malgré la rime...

cavaFacade.JPGEn voyant à la télévision un reportage sur le champagne qui coule à flots au Jour de l'An, sur la chimie des bulles et sur leurs vertus, je me suis souvenue de cette merveilleuse visite effectuée à la maison Gramona, dans le petit village de Sant Sadurni d'Anoia (région catalane de Penedès), en septembre 2008. Le directeur commercial de cette maison ancestrale, Frédéric Galtier (un Français d'origine, sur la photo) a guidé notre petit groupe avec


gramona_imperial.jpg pfredericGaltier.jpg

compétence et gentillesse. Il nous a fait descendre des escaliers sombres et raides jusqu'à ces vénérables caves où sont élaborées plusieurs variantes (extra-brut, brut, demi-sec...) de ce liquide pétillant couleur d'or pâle ou rosé. (Gramona produit aussi des vins blancs et rouges).

Comme l'autocar nous avait laissés à l'entrée du village, nous avons marché pendant dix minutes dans l'air vif et frais du petit matin, traversant les petites rues sinueuses et presque désertes à cette heure. (Jack en a parlé sur son blogue, ici)

Nous avons vu les barpboutCava.jpgils, les tuyaux, les supports où sont placées les bouteilles dans lesquelles le liquide mûrit lentement: elles nous laissent voir leur cul tandis que les impuretés s'accumulent dans leur col, ce col congelé que tranchent les ouvriers pour enlever le dépôt et ajouter la liqueur d'expédition, avant d'y placer le bouchon de liège. Bref, nous avons tout appris de la chimie du sucre et du gaz carbonique.

pbarilsCava.jpg

travailCava.jpgLe tout s'est terminé par une dégustation: de l'avis général, c'est le cava brut qui était le meilleur.

Quels merveilleux souvenirs!pdegust1.jpg

(On trouve quelques variétés de cava Gramona dans certaines succursales de la SAQ).

10/12/2009

Petit paradis

alcazar1.JPG(Alcazar: la cour des demoiselles)

Récemment dans La Presse, un texte sur Séville m'a rappelé toutes les sensations, tout le plaisir que m'ont procuré les  quelques jours passés dans cette belle ville andalouse à l'automne 2008, lors de mon célèbre voyage en Espagne. Tout a commencé le midi par un dîner avec des amis sur une minuscule terrasse au coin d'une rue. Nous avons mangé des omelettes, bu du vin et de la bière, c'était bon enfant et sympathique.

Puis nous avons eu droit à  un circuit guidé à pied dans le quartier de Santa Cruz, un vrai labyrinthe de petites rues où il est très facile de se perdre. Juste avant d'y accéder, nous avons pu notamment admirer la Casa de Pilatos, superbe résidence du 15e siècle toujours habitée. (Ici, un petit document PDF à télécharger, qui propose une vue d'ensemble et quelques images de Séville).
Outre les incontournables comme la cathédrale et la Giralda, l'article évoquait l'Alcazar, ce palais fortifié de style mudejar, agrandi et modifié par les rois successifs d'Espagne, qui sert toujours de résidence à la famille royale.
Si l'Alhambra de Grenade (que nous avons aussi visité) est considéré comme le grand monument de ce type, l'Alcazar de Séville, moins gigantesque et peut-être moins prétentieux, est vraiment magnifique. Sa taille plus

coupoleAlcaz.JPG

(La coupole du salon des Ambassadeurs)


modeste fait que l'on peut le visiter sans guide, et gratuitement si je me souviens bien.

On y perd peut-être un peu en renseignements précis, mais on y gagne en liberté, en possibilité de goûter chaque moment, de déambuler selon notre bon vouloir à d'une partie à l'autre ou dans les beaux jardins, de s'attarder dans les pièces ou devant les objets qui attirent l'attention. Après la visite, nous nous sommes reposés un moment en sirotant une limonade dans le petit casse-croûte aménagé le long des jardins.

Et voici deux autres photos que nous y avons prises, très agréables à regarder par cette belle journée hivernale à Saguenay PQ:

 

alcazar3.JPG

La galerie dite des grotesques

 

moiAlcazar.JPG

Et enfin le bassin de Mercure, dieu du commerce et des voyageurs, auquel j'ai malheureusement volé la vedette!

 

 

21/10/2009

Patinoire et sculptures



Quand j'ai visité New york, le 10 octobre dernier, la célèbre patinoire de l'imposant Rockefeller Center accueillait les premiers patineurs de la saison (le gigantesque arbre de Noël n'était cependant pas encore installé). Scène brève et charmante, filmée grâce à mon appareil photo.


jfManship.jpgTout près, ce bronze magnifique du sculpteur américain Paul Manship. Les articles et documents sur Internet évoquent surtout  Prométhée (vignette à droite), la sculpture dorée qu'il a réalisée pour la fontaine de promethee.jpgla patinoire du RC,  mais sa Jeune fille me semble tout aussi belle. (Des photos de cette sculpture et d'autres oeuvres de Manship sur ce site.)

Il a réalisé aussi un jeune homme, placé en vis-à-vis près de la patinoire, également en bronze et agrémenté des mêmes éléments végétaux qui évoquent le paradis terrestre. Photo de celui-ci et historique intéressant de ces deux bronzes achevés en 1933 ici .

 

17/10/2009

Au sommet de l'Empire

empireStCorrig.jpgUn incontournable à New York: l'ascension de l'Empire State Building, ce majestueux immeuble art déco qui est redevenu le plus haut gratte-ciel de New York depuis la destruction des tours jumelles du Word Trade Center le 11 septembre 2001. Ci-dessous, quelques photos "aériennes" de la ville que j'ai pu prendre (celle de gauche n'est pas de moi) de l'observatoire, cette galerie extérieure circulaire située au 86e des 102 étages que compte l'ESB, et que l'on atteint après avoir fait la queue pendant deux heures en compagnie de deux millions de personnes. Voir les explications de Jack sur ce pénible moment.

Vous trouverez d'autres photos prises du même point de vue sur ma galerie Flickr.

 

HPIM2683.jpg

Ci-dessus, vue sur la East River. Brooklyn sur l'autre rive, le Chrysler Building vers la gauche.

 

 

HPIM2686.jpg

Vers la pointe sud de l'île de Manhattan. Le gratte-ciel de forme triangulaire, vers le bas à droite, (que l'on apercevra mieux en grossissant l'image), est appelé le Flatiron Building, "immeuble en forme de fer à repasser", très beau bâtiment dont la construction fut achevée en 1902.

 

 

HPIM2672.jpg

Vue encadrée par les grillages de protection. Il ventait très fort ce jour-là (10 octobre 2009), mais le temps était clair.

 


14/10/2009

Coup de coeur dans la Pomme

laLaitiere.jpgJe suis de retour d'un week-end éclair à New York. Vous savez ce genre de voyage de groupe, presque 30 heures d'autobus (départ du Saguenay), deux nuits d'hôtel, un tour de ville et quelques visites? Bien voilà, je l'ai fait, et j'en suis très contente.
Ma plus grande émotion au cours de cette brève escapade n'a pourtant pas grand-chose à voir avec New York. Cela s'est passé au Metropolitan Museum of Art, et l'oeuvre qui m'a émue ne fait pas partie de sa collection, mais de celle du Rijksmuseum d'Amsterdam, qui l'a prêtée au MMA.
J'ai pu en effet admirer La Laitière, une toile célèbre du peintre néerlandais Vermeer: une pure merveille, un chef-d'oeuvre devant lequel on ne peut que se taire et ressentir.
Ce tableau est l'oeuvre-phare d'une exposition temporaire montée à l'occasion du 400e anniversaire de la découverte de l'île de Manhattan par l'explorateur anglais Henry Hudson: parti d'Amsterdam, il fut le premier Européen à naviguer dans la baie de New York et à remonter, à l'ouest de l'île, la rivière qui porte aujourd'hui son nom.
L'exposition est placée tout près de l'entrée du musée, et c'est pourquoi j'ai pu la voir au même si ma visite a duré à peine une heure (pour tout voir, il faudrait y passer plusieurs jours, car le musée est immense et regorge de chefs-d'oeuvre de toutes les époques): j'y suis arrivée tout de suite après avoir traversé les premières salles où se trouvent les sculptures et autres vestiges gréco-romains, admirables également par ailleurs.

vermeerJeuneFIlle.jpgOutre La Laitière, d'autres oeuvres de Vermeer (notamment l'Étude d'une jeune femme, photo ci-contre) et d'autres peintres de l'école hollandaise (appartenant au MMA celles-là) sont également présentées: magnifiques.

Cette vidéo montre l'exposition dans son contexte, avec l'entrée du Musée et les visiteurs qui affluent:

11/06/2009

Barcelone, Café de l'Opéra

cafeSoir.jpgQuand on se promène dans une ville étrangère, à la recherche d’un café ou d’un restaurant, on fait parfois le mauvais choix et on se retrouve dans un endroit plus ou moins agréable: en général, ce n’est pas grave et nous avons appris, mon conjoint et moi, à tirer parti de ces situations.
Je me souviens d’un soir à Séville, l’automne dernier: il était tard, nous avions faim, nous avons choisi au hasard un resto où il faisait très froid (grandes fenêtres ouvertes sur une soirée très fraîche), et où on nous a servi des plats à peine décongelés. Mais nous avons pris la chose avec philosophie, et malgré ces irritants, nous avons pris plaisir à observer les gens et les lieux.
Parfois au contraire on “tombe bien” et on se retrouve dans un lieu célèbre, et même mythique. Ainsi le Cafè de l’Òpera à Barcelone,  sur la Rambla, où nous sommes arrêtés un soir pour manger un petit morceau, après avoir assisté à un spectacle (pourri) au splendide Palau de la Musica.
Le Café de l’Opéra s’appelle ainsi parce qu’il est tout près du Gran Teatre del Liceu, l’opéra de Barcelone, en fait du côté opposé de la Rambla. Il a débuté son activité à la fin du 18e siècle, comme point de départ des carrioles qui sortaient de la ville,  avant de devenir une chocolateria, puis un restaurant réputé appelé Lcafeopera-logo.gifa Mallorquina, et enfin, depuis 1929, le Cafè de l’Òpera (plus de détails ici). Il est moins mythique que le café Florian de Venise, mais tout de même, nous avons ensuite appris par le guide Michelin que c'est un incontournable à Barcelone.
Fréquenté par une faune bigarrée, animée, de tout âge et apparemment de toutes orgines, aussi bien des employés des boutiques voisines que des globe-trotters posés là un instant. Selon l'heure de la journée, on peut y prendre un café, une pâtisserie (leur spécialité), un verre de bière ou de vin, un dessert, un repas complet. J’y ai mangé quelques tapas, Jack a pris un dessert. Avec du vin. (Nous étions assis à une des petites tables que l'on voit à gauche sur la photo du bas).
Décor néoclassique agrémenté d’éléments modernistes, cristal, immenses tableaux, miroirs d’origine, escalier de marbre monumental qui conduit à un étage en terrasse (le tout signé par l’architecte Antoni Moragas), le Cafè de l’Òpera fait partie du patrimoine historique de Barcelone. De même que les serveurs, style garçons de café parisiens, la gentillesse en plus.
Il y avait ce soir-là entre autres un groupe de jeunes Américains, des hommes seuls, des couples, un peintre ou dessinateur qui montrait un portfolio à quelqu’un d’autre.
C’est un lieu où on se sent bien immédiatement. On a l'impression que tout est permis:  rester dans son coin, parler à tout le monde... ou se mettre à chanter.
Il nous a permis de vivre un moment privilégié.

cafOpera.jpg

30/04/2009

Figueres et Dali

exterieur.JPGDans le Figaro, cet article sur une exposition Dali dans l'espace qui porte son nom à Montmartre me rappelle mon excursion au Musée Dali à Figueres, lors du voyage en Espagne en septembre dernier. Salvador Dali est un artiste hors norme, un esprit créatif toujours en ébullition, un génie au vrai sens du terme, que j'admire depuis longtemps. Inclassable, même si on l' a dit surréaliste.
À partir de Barcelone, donc, un trajet en autobus nous a conduits, moi, mon conjoint et notre groupe, par un petit matin un peu frisquet, aux abords du Teatre Museu Dali, dont l'aspect extérieur porte déjà la signature du maître. Voici des images que Jack et moi avons saisies au cours de cette visite.daliSeins.JPG
Ce qui me fascine le plus parmi les objets imaginés par Dali,  ce sont ses montres molles.   persistance.jpg On les retrouve notamment sur ces deux tableaux, La persistance de la mémoire (ci-dessus), et La désintégration de la persistance de la mémoire (ci-dessous). Pour plus d'explications, voir le texte complet sur Wikipedia). Bientôt, je mettrai dans ma colonne de gauche un "album Dali" comportant d'autres images.desintegration.jpg
Après la visite, nous avons parcouru la côte catalane, la Costa Brava, pour nous arrêter près du petit village de Begur, à Aiguablava (ou peut-être Fornells de la Selva, le nom de lieu varie selon les sites web consultés...) dans un restaurant appelé La Miranda, où tout  s'est passé un peu bizarrement: ceux d'entre nous qui avaient commandé du poisson ont pu LaMiranda.jpgmanger à peu près normalement, mais tous ceux qui voulaient des pizzas ont dû attendre un temps interminable, les fours ne chauffaient pas ou quoi, et finalement avaler deux morceaux en vitesse car il était temps de partir!!!
À noter aussi, les musiciens qui animaient le repas, dans cette grande salle où nous étions à peu près les seuls convives, et à qui nous avons demandé de jouer Besame Mucho. Objet d'une intéressante note de Jack ici.
À la sortie, quelques membres du groupe se sont défoulées en sautant dans un jeu gonfable destiné aux enfants. Je ne mets pas de photo, histoire de préserver leur diginité et leur intimité.

19/01/2009

Bixi... bici

J'ai bien hâte d'essayer le bixi, ce vélo qui sera offert en location publique à Montréal, peut-être à compter de l'été prochain. Fabriqué par l'entreprise saguenéenne cycles Devinci, il a été classé parmi les dix meilleures innovations de l'année par le magazine Times.

Mais il ne faut pas croire que Montréal a inventé le système. On connaît déjà le velib à Paris. Un système semblable existe dans la plupart des villes d'Espagne que j'ai visitées à l'automne 2008. À Barcelone, on l'appelle familièrement BarcelonaBici. Voici le dépliant (en trois langues: catalan, espagnol (castillan), anglais: le français n'existe pas là-bas). biciBarCouv.jpg

Bici et Bixi : les deux mots se ressemblent, mais ils n'ont pas la même  étymologie. Bici est un diminutif de bicicleta, et bixi un néologisme forgé à partir des mots bicyclette et taxi.

D'autre part, pendant mon séjour à Barcelone, le Cirque du Soleil était aussi en ville, avec son spectacle Quidam. Voici une partie du dépliant (en deux langues cette fois, castillan et catalan):
cirqBarcelone1.jpg

 

28/12/2008

Metropólis, Madrid

coupeMetrop.jpgLors de mon voyage en Espagne, j’ai beaucoup aimé la ville de Madrid, entre autres parce que les anciens édifices y sont bien préservés et mis en valeur.
Parmi les beaux immeubles que j’ai pu y voir, en voici un qui a conservé toute sa splendeur: l’edificio Metrópolis (photo prise par Jack), situé à l’embranchement de deux grandes artères, la calle Alcalá (sur laquelle se trouvait notre hôtel (Regina)), et Gran Vía. Ce remarquable édifice, oeuvre des architectes français Jules et Raymond Février, a été construit en 1911 pour abriter la compagnie d'assurances "La Union y el Fénix".
La façade richement décorée est ornée de statues allégoriques évoquant le commerce, l'architecture, l'industrie et la mine. La tour circulaire est coiffée d'une splendide coupole. Celle-ci était à l’origine surmontée par une sculpture en bronze représentant l’emblème de la firme: Ganymède chevauchant un aigle (selon la mythologie grecque, Zeus s’était transformé en aigle pour enlever ce bel adolescent et en faire son échanson... et/ou son amant).
En 1970, lorsque La Union y el Fénix quitta l’immeuble,  elle fit enlever le “Fénix” afin de le transporter à son nouveau siège social.
Metrópolis Seguros (une autre firme d’assureurs), acquéreur de l’immeuble, confia au sculpteur Federico Coullaut-Valera la réalisation du nouvel emblème: une Victoire ailée, qui prit la place du “Fénix”. Bien entendu, la plaque affichant la raison sociale fut également remplacée.
Pour de magnifiques photos, et une histoire très complète de cet édifice,  vous pouvez consulter cette note sur le site (en anglais, mais superbe) d’Andrew Cusack.

01/12/2008

Québécoise de passage

chambreKrieg.jpgIl y a quelques années, j’allais chaque hiver passer cinq ou six jours à Montréal, seule, pour y vivre la vie des Montréalais et voir un maximum de concerts, de spectacles et d’expositions: tout ce que je pouvais trouver pendant la période où j’étais là, habituellement à la mi-février. Je logeais à l’hôtel, en général l’Hôtel de l’Institut, je me promenais en métro et en autobus, je voyais du ballet, de l’opéra, des concerts de l’OSM, je magasinais un peu, surtout pour des choses qu’on ne trouve pas au Saguenay.
C’étaient mes vacances personnelles, un moyen pour moi de changer de milieu et de préoccupations: cela coûtait horriblement cher, mais comme je travaillais, j’étais plus riche qu’aujourd’hui et j’avais le moyen de me payer cela.
Cette fois j’ai fait la même chose, la semaine dernière, mais à Québec, et pendant deux nuits seulement car mes revenus de retraitée sont nettement plus modestes.
J’ai donc logé au café Krieghoff,  qui offre à mon avis le meilleur rapport qualité-prix en ville, mais la chambre coûte quand même 115$ par nuit, excellent petit déjeuner inclus (et très bon café aussi). Plus taxes.  Sept chambres : la mienne (sur la photo) était assez grande, confortable, décorée sobrement et avec goût, bien chauffée, douche fonctionnelle et agréable à utiliser. Classé deux étoiles, il en mériterait trois à mon avis.
Comme les escaliers sont à l’extérieur et qu’il n’y a pas d’ascenseur, ce n’est pas l’endroit idéal pour trimballer de grosses valises. (Un matin, j’ai entendu à six heures le bruit de telles valises que l’on faisait rouler de marche en marche en descendant: ce fut long et pénible). Et si on a une voiture, il faut la garer dans un stationnement intérieur situé sur une autre rue. Et payer en plus.
Bref, c’est plutôt un endroit pour passer quelques jours sans trop de bagages (un sac à dos par exemple), comme je l’ai fait. Sur le palier du premier étage, dans le petit hall salonKrieg.pngdonnant sur les chambres, il y a un petit salon (photo) et un bel ordinateur presque jamais utilisé, donc on peut aller voir ses courriels et naviguer un peu. Je l’ai utilisé entre autres pour connaître les trajets d’autobus à Québec conduisant aux endroits où je voulais aller.
J’ai mangé au Krieghoff pour les repas du soir: un smoked meat une fois, très bien, et le lendemain, un excellent pavé de saumon grillé.
Je vous parlerai un autre jour de mes sorties culturelles.