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24/07/2006

Requiem pour un Roch

medium_rochLar.jpegJ'ai assisté hier aux funérailles de Roch Laroche, mort à 69 ans. L'église Saint-Mathias était pleine. Il a travaillé dans à peu près tous les domaines, il a dirigé le choeur Amadeus pendant 40 ans. C'est d'ailleurs là, dans l'église Saint-Mathias, la dernière fois que je l'ai vu: il chantait, simple choriste dans ce choeur dont il avait laissé, quelques mois auparavant, la direction à Pierre Lamontagne, parce qu'il se savait malade. Au programme de ce concert (voir ma note: Amadeus): le Requiem de Mozart...
Quelques mois plus tôt, je l'avais rencontré, dans cette même église, à un concert des Jeunesses musicales. Il m'avait expliqué le déménagement de l'orgue, de l'église Saint-Jacques à Saint-Mathias, comment on avait installé l'instrument dans son nouveau vaisseau, pliant les tuyaux quand c'était nécessaire, il m'avait d'ailleurs fait visiter, derrière le maître-autel, l'endroit où étaient placés ces tuyaux. Peu à peu, des gens s'étaient joints à moi pour écouter ses explications, et finalement, c'est une grosse foule qui l'a suivi.
Pour revenir à la cérémonie d'hier, le choeur Amadeus était là, bien sûr, qui a chanté, entre autres, des extraits du Requiem de Mozart (Introit et Lacrimosa), l'Alleluia du Messie de Haendel et quelques autres pièces. Le député Jean-Pierre Blackburn a fait un bon discours, bien senti, Thérèse Bilocq a évoqué les souvenirs du monde de l'éducation, ses deux fils ont aussi présenté un témoignage. L'un d'eux a proposé un conte mettant en vedette un géant de la forêt...
Roch Laroche: un homme sérieux, engagé, dévoué, discret, avec qui j'ai toujours eu de bonnes relations.

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