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29/01/2006

La perfection incarnée


Roger Federer vient de gagner les Internationaux d'Australie. Pour moi, c'est l'athlète idéal: comme s'il avait de la beauté partout. Physiquement, moralement, mentalement. Remarquez que je ne le connais pas, je ne sais pas grand-chose de lui, je le regarde simplement jouer à la télévision, j'aime plusieurs joueurs, notamment Marcos Baghdatis, qui a joué un tournoi fabuleux et qui est passé du statut de nobody à celui de vedette, comme Nadal il y a quelque temps, mais personne n'égale Federer, son élégance, sa concentration, son intelligence. Il se dégage de lui une impression de force, de puissance, et en même temps d'assurance tranquille et de douceur : que demander de plus ?
Je projette, me direz-vous. Mais oui, pourquoi pas, ça fait du bien de voir des athlètes, ou encore des artistes, qui arrivent ainsi à des sommets à la fois dans leur art et dans leur capacité à soulever le public. Nous qui ne sommes rien à côté d'eux, on a au moins le loisir de les admirer, et de vivre de grandes choses à travers eux.
Euh, est-ce que ça a du sens, tout ça ?

Ma note à Roger Federer : 8/10

(Restons calme, tout de même! À 10, c'est la passion. Quelqu'un mériterait-il cette note, selon moi ? Vous êtres trop curieux...)

 

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