Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/10/2011

Steve Jobs: des souris et des pommes

Steve Jobs, Macintosh, Apple, adieuJe n'ajouterai pas grand-chose au concert d'hommages qui s'élève en ce moment autour de Steve Jobs.

Sinon qu'à mes yeux, c'était un homme exceptionnel, qui a changé sans contredit le cours de l'histoire dans plusieurs domaines. Sa qualité principale, me semble-t-il, fut de pensteve jobs,macintosh,apple,adieuser à ceux qui utiliseraient ses produits, afin de leur rendre la tâche non seulement facile, mais agréable et dans bien des cas passionnante.

Tellement que ces appareils, iMac, MacBook, iPhone, iPad, iPod (et leurs logiciels), à la fois beaux et fonctionnels, sont devenus des objets de désir pour des millions de gens, et donc une source de richesse pour Apple.

Les produits Apple ont changé en particulier l'univers de la création: peintres, graphistes, auteurs, musiciens et autres artistes ont pu repousser les limites de leur travail, ou l'orienter dans des directions imprévues, grâce aux machines et logiciels imaginés par Steve Jobs: c'est fabuleux.

Steve Jobs, Macintosh, Apple, adieu(En 1984, Steve Jobs présentait le tout nouveau Macintosh)


Alors, hommage à Steve Jobs, un génie dans son domaine, un créateur passionné qui a changé le cours de ma propre vie... pour le meilleur ou pour le pire. Je regrette qu'il soit mort si jeune, victime d'un mal qui peut frapper n'importe qui et n'importe quand.

 

"Mon Mac est l’objet dont je me sers le plus souvent dans ma vie. Il me sert à tout: écrire, programmer, jouer, communiquer, faire des recherches, écouter une interview ou une émission que j’ai manquée, lire des nouvelles, gérer mes comptes, payer mes factures, acheter des disques ou des livres.


J'avais écrit cela dans une note précédente, à l'occasion des 25 ans du Macintosh.

C'était en janvier 2009. Depuis ce temps, nous avons acquis deux nouveaux Mac et quelques iPod.steve jobs,macintosh,apple,adieu

Pas encore de iPad, mais peut-être un jour... Et je me suis retenue d'acheter un MacBook Air, au design si craquant, mais qui ne me serait pas vraiment utile.

Enfin nous avons donné à une entreprise qui recycle ce genre de matériel tous les écrans, périphériques et autres bidules dont nous ne nous servions plus.

29/01/2009

Fidèle à mon Mac depuis 25 ans

On célèbre ce mois-ci le 25e anniversaire de naissance du Macintosh. Souvenirs...
En 1984, Jack m’a montré un Macintosh dans la vitrine d’un magasin de la rue Racine. Et ce fut le coup de foudre...mac128.jpg
Imaginé par Steve Jobs (que l'on dit très malade), cofondateur d'Apple (avec Steve Wozniak), le premier Macintosh mis en marché disposait de 64k (kilo-octets) de mémoire vive. Puis le 128k est sorti, ce qui nous semblait très puissant. Mais Jack a dit: “nous devrions attendre le steveJobs.jpgprochain, le 512k”. Ce que nous avons fait.

Ça coûtait cher, aux alentours de 4000$ si je me souviens bien. Mais avec 512k (comme celui sur la photo de gauche), nous étions en cadillac, par comparaison avec notre ZX-81 de... 1k. (Vous avez bien lu: un kilo-octet de mémoire vive, je vous raconterai cette histoire une autre fois).
C’était intuitif et amusant. La souris se manipulait facilement. Avec les logiciels MacPaint, MacWrite, on pouvait dessiner, écrire des textes, c’était en noir et blanc... et tout à fait fabuleux.
Mais il n’y avait pas Internet, à l’époque, donc pas question de naviguer, de faire des recherches, d’envoyer des messages.

Que faisions-nous?
Jack passait des soirées entières -et des nuits parfois- à jouer dans le système, notamment pour traduire les programmes de l’anglais au français, changer les menus, améliorer la rapidité et les performances de la machine.
Moi je faisais de la programmation en BASIC. Puis Apple a proposé un logiciel de programmation appelé Hypercard, et ensuite Supercard, avec lesquels j'ai beaucoup travaillé. Poésie aléatoire , analyse de textes, tirage de numéros de loterie, ce genre de choses, que je fais maintenant en HTML et JavaScript. Vous pouvez voir des exemples de poésie aléatoire dans ma colonne de droite, en appuyant sur les boutons Créer un tercet et Nouveau tercet, et sur le blogue de Jack, colonne de droite, sous les rubriques Poémier et  Poémier deux.

Ce fut donc notre premier Mac. Depuis, il y en a eu d’autres, je ne sais plus trop combien, cinq ou six. Un SE 30, un G3, un classic, deux iMac, un powerbook (ancien). Au bureau aussi, nous utilisions aussi des Macintosh.
Très vite, il nous a fallu deux ordis: chacun le sien, comme pour les voitures. Souvent, Jack en achète un et me donne son “vieux” Mac. Cela me convient parfaitement.
Donc nous avons beaucoup consommé, non seulement des ordis, mais tout ce qui pouvait s’y brancher: imprimantes, disquettes, disques durs, lecteurs externes... Rangés ici et là dans la maison, on trouve encore au moins deux Macintosh, trois claviers, quelques écrans et imprimantes, des souris et leurs tapis, des périphériques en tous genres et des kilomètres de fils...

iMacG4.jpg


Et maintenant j’utilise un iMac G4 comme celui-ci.
J’ai aussi un iPod de 4 giga-octets, près de mille fois plus puissant que mon premier Mac. (Merci aux collègues qui me l’ont offert comme cadeau de retraite!)
Mon Mac est l’objet dont je me sers le plus souvent dans ma vie. Il me sert à tout: écrire, programmer, jouer, communiquer, faire des recherches, écouter une interview ou une émission que j’ai manquée, lire des nouvelles, gérer mes comptes, payer mes factures, acheter des disques ou des livres.
Cependant, il y a encore quelques petites choses pour lesquelles il ne m'est d'aucun secours, comme passer l'aspirateur et prendre mon bain, par exemple.
Bon, c'est justement le temps d'y aller...