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18/04/2010

Rénovations et papillons

 

Si vous fréquentez régulièrement ce Spécial du jour, vous avez sans doute remarqué que j'ai procédé récemment à quelques rénovations, c'est-à-dire que j'ai changé la bannière du haut: après presque quatre ans, ce rafraîchissement s'imposait, il me semble. J'ai d'autres projets de changements, cependant je suis bien consciente qu'il faut éviter de tout chambarder dans un site, car cela pourrait déstabiliser... et éloigner les visiteurs. L'image incrustée est mon avatar, créé à l'aide de yahoo, j'ai choisi New York comme arrière-plan, parce que j'y suis allée l'automne dernier.

J'ai aussi ajouté quelques liens dans la colonne de droite, notamment celui qui mène à mon site sur les arts visuels au Saguenay.

La vidéo ci-haut a été tournée au Jardin botanique de Montréal, il y a deux mois avec mon appareil photo HP, acheté il y a deux ans au prix de 100$. Je l'adore. Il est petit, facile à utiliser (tous les réglages se font à l'écran), je le traîne partout, et pour le reste, il fait de très bonnes photos, sauf pour les intérieurs mal éclairés, comme les salles de spectacle, à cause du flash qui est soit trop faible, soit mal orienté. Mais au prix que j'ai payé, dès qu'il ne fera plus l'affaire, je le changerai.

Je voulais donc placer cette vidéo sur ma note précédente concernant ma visite à l'événement Papillons en liberté. J'ai fait plusieurs tentatives, par exemple transformer le format originel .AVI en .mp4, mais ça ne fonctionnait pas. Après avoir publié ma note, j'ai continué à travailler pour constater que le format .mov est le seul admis sur mon blogue Hautetfort, même si l'aide indique que plusieurs autres formats peuvent être utilisés.

Ah! les mystères du Web...

15/01/2010

Alegria: allégresse!

clownsAlegria.jpg(photos: Le Soleil)

C'est étrange, mais Alegria m'a fait penser à Avatar.  Tout comme le film de James Cameron, le spectacle du Cirque du Soleil, que j'ai vu jeudi après-midi au Centre Georges-Vézina, nous transporte dans un monde imaginaire, peuplé d'êtres qui nous ressemblent mais qui disposent de pouvoirs ou de talents extraordinaires. Le monde d'Alegria est plus complexe et plus inquiétant, avec ses  ses clowns, ses déshérités, ses aristocrates déchus et bedonnants, inquiétants personnages qui hantent les coulisses, mais tout de même, il fait référence, comme celui d'Avatar, à la notion de tribu, de rites primitifs, de force physique et mentale.
Comme devant le film, je me suis abandonnée au spectacle: les critiques avaient parlé de numéros de clowns un peu longs, or moi je les ai adorés. Le zèbre jaune et noir qui ne veut pas sauter (super-mignon), les disputes par avions de papier interposés,  et le voyage en train du clown triste qui s'achève  par une tempête de neige soufflant sur les spectateurs: tout ça est beau et fort.
Comme j'avais déjà vu ce spectacle en son temps (1994)  et que j'ai assisté à plusieurs autres productions du Cirque du Soleil, j'ai observé davantage les détails, les costumes fabuleux, les chorégraphies originales, j'ai mieux écouté la musique de René Dupéré, toujours aussi belle et prenante, chantée en direct pendant les numéros qu'elle rythme et accompagne.
deuxJongleursFeu.jpg Mon coup de coeur: les jongleurs de feu. Deux hommes jonglent avec des torches enflammées, qu'ils lancent et font tournoyer,  touchant le feu avec leurs pieds, leurs mains, leur bouche, incendiant le plancher: un tourbillon insensé de flammes pulsé par une musique qui nous rentre dans le corps: ce numéro m'a complètement hypnotisée.
Les contorsionnistes,  un numéro tout en douceur, où deux jeunes femmes,  telles des lianes, s'étirent, s'enroulent, se déforment et se reforment, devant un étrange personnage, unijambiste en manteau et capuchon, dont on devine le regard admiratif ou envieux.  D'une inquiétante étrangeté.
cerceauxAlegria.jpgLa femme aux cerceaux est excellente. La chanteuse en blanc aussi, qui participe vraiment au spectacle.
Quelques numéros moins impressionnants au point de vue de la difficulté  (comme l'homme volant et le dernier numéro où les acrobates répètent les mêmes mouvements), mais tout de même quel merveilleux spectacle!
La salle n'était pas pleine: au parterre, où je me trouvais, à peine un tiers des sièges étaient occupés. Il y avait davantage de monde dans les gradins à l'arrière. Je dirais qu'il y avait environ 700 à 800 personnes.
Sûr qu'à 100$ le billet, c'est un peu cher. Mais pour ma part, je n'ai pas regretté un seul instant d'avoir dépensé cette somme.

12/07/2009

J'ai mangé sous le pont

fjordJonq.jpgVendredi, il faisait un temps superbe. Une balade à vélo, pourquoi pas? Je ne pensais pas me rendre jusqu'à la zone portuaire de Chicoutimi, mais finalement je l'ai fait.

C'est facile de s'y rendre, mais le retour, beaucoup en montée, est un peu difficile. J'ai constaté que j'en suis encore capable, malgré mon âge vénérable.

J'ai dégusté mon sandwich (une tranche de fromage jaune Kraft entre deux tranches de pain brun, avec laitue et moutarde, plus un jus de fruits exotiques: quand on a faim, c'est délicieux!) sous le pont Dubuc. Ce n'est pas particulièrement joli juste là, la structure de béton accuse son âge dessous.jpg(comme le montrent les deux photos ci-contre) sousTravee.jpg mais enfin on a une vue magnifique sur le Saguenay d'un côté et de l'autre. La photo du haut: vue vers l'ouest (Jonquière). Les photos ci-dessous:  vue vers l'est, sur la ville de Chicoutimi et l'ancien pont.VueChicout.jpg

vieuxPOnt.jpg

Le petit train touristique en était à sa première sortie, le chauffeur ne pouvait pas le retourner, par manque d'espace, et impossible de reculer. On a appelé des employés de la Ville (du moins j'imagine), qui ont remorqué le petit train jusqu'au bord de la piste, afin qu'il ait un espace assezPetitTrain.JPG large pour faire demi-tour. Opération réussie, pour la plus grande joie des passagers, une dizaine, qui ont attendu environ un quart d'heure.

Après mon repas, je suis allée faire un tour aux Halles avant de me rendre à la Pulperie, puis j'ai repris la piste cyclable qui passe par Saint-Jean Eudes. Un bon effort (surtout devant les installations de Rio Tinto Alcan), j'avais chaud, mais quelle belle journée!

En terminant, voici deux autres photos,  prises celles-là sur la promenade du port. Ma fidèle monture (mon vélo Devinci, dont j'ai déjà parlé ici) apparaît sur celle du bas.nenuphars.jpgvueVelo.jpg

17/05/2009

J'ai rêvé d'une salle...

auditModif.jpgEn ce qui concerne la salle de spectacle de Saguenay, la décision est prise: l’auditorium Dufour sera rénové.
Il semblerait qu’à Saguenay, on soit né pour un petit pain, et donc, la rénovation, c’est tout ce qu’on peut se payer. Je ne suis pas contre, car je pourrai continuer à fréquenter ce lieu pour lequel j’éprouve une affection particulière, malgré sa vétusté, et même si une ou deux fois je me suis retrouvée sur un siège tout cassé.
Je suis sûre que les rénovations annoncées lui feront le plus grand bien: la salle sera plus moderne, dotée d’une meilleure acoustique, plus agréable à fréquenter pour le public et les artistes, plus confortable, plus belle.
Plus belle, mais cela ne se verra pas de l’extérieur. L’auditorium Dufour demeurera une salle “invisible”, enclavée dans les murs d’un vieux cégep tout gris et un peu décrépit. (J'ai d'ailleurs l'impression que c'est le Cégep de Chicoutimi, plus que le public, et même plus que la Ville, qui sort grand gagnant de l’opération et qui tirera le maximum de bénéfice de ces rénovations.)
J’aurais vraiment aimé que la Ville et ses citoyens fassent pour une fois preuve d’audace et frappent un grand coup: construire un édifice culturel entièrement nouveau. Une sorte de palais des arts comportant au moins deux auditoriums de tailles et à vocations différentes, pour le théâtre, la musique classique, la danse, ainsi que des bureaux, des salles de répétition, des locaux pour l’administration et l’entreposage.
Je verrais bien ce nouveau bâtiment sur le port (peut-être à la place du hangar actuel) de Chicoutimi, se dressant au bord du Saguenay tel un vaisseau prêt à larguer les amarres pour offrir un voyage à ceux qui y montent.
Et je le verrais original, extravagant, “complètement pété” comme dirait le maire Labeaume. On ferait appel à un super-architecte qui pondrait un projet inouï, saisissant. Du jamais vu à Saguenay, un édifice qui deviendrait une sorte d’emblème de la ville et de la région, et dont quelques éléments pourraient faire écho à la structure du vieux pont de Sainte-Anne.
Les gens viendraient de loin, en auto, en vélo, en autobus, en bateau, seulement pour le voir. Et il y aurait les spectacles et les concerts en plus!
Voici quelques exemples de salles de concert et maisons d’opéra (modernes), dont l’architecture pourrait servir d’inspiration. (Cliquez pour les voir en plus grand)

amsterdamOpNom.jpgkazakhstanOpNom.jpg

 

dallasOpNom.jpgoperaShanghaiNom.jpg
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copenhagueOpNom.jpg valenceOperaNom.jpg

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Je sais, ce n’est qu’un rêve.

On peut rêver, non?

12/10/2008

Bonne route, Monsieur Barbeau

Barbeau 2.jpgLe peintre Jean-Guy Barbeau (appelé Guy Barbeau sur l’avis de décès paru dans le journal) est décédé.
Heureusement, cet artiste au style personnel et unique a eu le plaisir de voir la rétrospective de son oeuvre présentée à la Pulperie en 2007. Malade et affaibli, il avait cependant pu voir ses oeuvres réunies dans une belle exposition, rencontrer ses proches et recevoir leurs témoignages d’affection et d’estime.
J’avais parlé de lui à cette occasion, et mon idée n’a pas changé depuis: un artiste exceptionnel, un homme exquis, discret et intelligent, doté d’une finesse d’esprit et d’une délicatesse remarquables.
Maintenant qu’il est mort, je puis, sans craindre d’offenser sa modestie ou sa discrétion, révéler la nature de ce geste qu’il a posé pour ma retraite: il a peint sur un boîtier ce superbe petit tableau de 4X2 pouces intitulé Dernière édition. (pour un autre exemple de son style, vous pouvez voir le tableau que j’ai un jour offert à Jack en cadeau d’anniversaire ici)
Ensuite il s’est débrouillé pour trouver mon adresse, ce qui n’était pas évident, et il m’a fait parvenir un colis contenant son oeuvre ainsi qu’une lettre manuscrite amicale et délicate.
Son geste m’avait émue et profondément touchée.
J’en suis encore toute remuée et je rends hommage à ce grand monsieur, à cet artiste incomparable qui nous quitte en nous laissant, dans ses oeuvres, une partie de son âme.

26/02/2008

Vive le noir!

1437029462.jpg Depuis quelque temps le critique musical de La Presse Claude Gingras se désole et se plaint de devoir écouter des concerts à la Place des Arts alors que la salle est plongée dans le noir. Il déplore notamment de ne pouvoir lire sa partition et compatit avec les auditeurs qui ne peuvent pas lire le programme.
Ces commentaires me font sourire, car depuis des années, chaque fois que j’assiste à un concert à Wilfrid-Pelletier, je me demande pourquoi le parterre, les sièges et le public sont presque aussi éclairés que les musiciens sur la scène. J’en conclus qu’il doit y avoir des employés qui dorment au gaz à la régie et oublient d’éteindre les lumières dans la salle!!!
Il me semble que c’est logique: pleins feux sur la scène, les artistes, les musiciens. Comment peut-on apprécier un concert si on n’est pas sinon dans le noir total, du moins dans la pénombre?

21/02/2008

Mûre et pas verte

 

J’ai un aveu à faire: je ne suis pas très verte. L’écologie, la sauvegarde de la planète, les changements climatiques: tout cela me laisse assez froide.
Sceptique en tout cas, car il y a tellement de malheurs et de malheureux dans le monde (Darfour, Chine) que je me dis qu’il faudrait commencer par s’occuper d’eux, notamment les enfants qui sont réduits en esclavage et/ou qui meurent de faim. Ce qui est, je l’admets, beaucoup plus compliqué que d’apporter des sacs réutilisables au supermarché.
Quand même, j’ai fait un petit effort, en me procurant deux écolosacs chez IGA. Cela nous donne droit à trois sous de rabais par sac utilisé.
Ils sont jolis, colorés, et... très grands. Solides, aussi.
Alors les emballeurs les remplissent à ras bord, et quand ils le peuvent, ils mettent dans le même sac tous les contenants de jus, boîtes de conserves et autres grosses affaires pesantes. Le sac devient lourd, très lourd, trop lourd pour mes faibles bras de soixantenaire.
Je me suis presque arraché les deux bras et déchiré le dos en tentant de transporter mes sacs écolo.
Et j’ai entendu le gémissement de douleur poussé par des femmes qui, au moment de soulever la chose, ne fût-ce que pour la déménager du panier au coffre de leur voiture, m’ont regardée d’un air implorant ou incrédule, en s’écriant “mais c’est bien trop pesant pour moi!”.
Mon mari avait tendance à croire que je me plaignais pour rien, il a emprunté mes sacs pour faire le marché et s’est rendu à l’évidence: ce n’est pas fait pour les petites madames de mon âge. Ni pour les vieillards cacochymes.
Alors ce qui semblait une bonne idée à prime abord, m’apporte plus de problèmes que d’autre chose.
Je suis retournée aux bons vieux sacs en plastique, j’en utilise cinq plutôt que deux, je les réutilise quand je peux, mais ils ne sont pas très résistants.
Pourtant, ils vont durer des milliers d’années avant de se décomposer...
 

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Voici une photo du début de l'éclipse lunaire qui a eu lieu hier 20 février, en l'honneur de l'anniversaire de mon conjoint! La photo n'est pas très bonne, mais c'est moi qui l'ai prise, je suis sortie dehors spécialement pour ça. Et l'éclipse était vraiment magnifique.

19/02/2008

Patineurs

2a39adc613419a4dcbf3fd3e64fa3a72.jpegTrois rubriques dans une seule note, mes amis, vous en avez pour votre argent aujourd’hui!!!!

Patinage

Ça m’amuse d’entendre et de lire les fédéralistes de tout poil patiner à propos de l’indépendance du Kosovo. Ils insistent sur les différences entre la situation de ce pays et celle du Québec. C’est sûr qu’il y a de grosses différences,  et même les souverainistes les plus convaincus ne songent pas à  le nier.
Reste qu’un petit pays a réussi à devenir autonome et libre, envers et contre tous. Et ça, c’est inspirant pour les indépendantistes du Québec. On entend littéralement les fédéralistes trembler de peur à l’idée que quelque chose de semblable à l’indépendance pourrait se produire au Québec. Pourquoi s’en font-ils autant, c’est toujours la question que je me pose. Quand un enfant veut partir de la maison, on le laisse aller, et on reconfigure la famille et le foyer, point final.

Come on!

Parlant de patinage, le champion toutes catégories est le lanceur Éric Gagné (photo). Il a fait déplacer les journalistes pour une pseudo-conférence de presse: un laïus bilingue de 120 secondes, pendant lequel il n’a absolument rien dit. Il s’est excusé du bout des lèvres, ce qui constitue un aveu... déguisé.
Bien sûr, sa situation est délicate. Il risque l’expulsion des États-Unis, et la fin de sa carrière au baseball s’il avoue avoir consommé des substances interdites. Il n’en a pas parlé, il n’a répondu à aucune question...
Bonsoir... il est parti!
Sacré Éric, va!

Concert
Dimanche, je suis allée au concert donné par le clarinettiste Sean Rice et le pianiste Jean-Philippe Sylvestre à la salle Pierrette-Gaudreault, un programme des Jeunesses musicales.
Deux jeunes musiciens, peut-être prometteurs, mais pas encore prêts pour le grand concert, m’a-t-il semblé.
Le son de la clarinette n’était pas ce qu’il devrait être, il manquait d’ampleur et de velouté, le pianiste s’est crocheté les doigts un peu trop souvent.
Mais au-delà de la technique, c’est l’interprétation qui affichait ses faiblesses. Occupés à surmonter les difficultés techniques de partitions très exigeantes, les deux musiciens ont oublié de proposer une lecture, un approfondissement, une vision, de laisser parler leur sensibilité, même pour des oeuvres légères comme celles de Rossini et de Weber. C’était un peu mieux pour la rhapsodie de Debussy et le duo concertant de Darius Milhaud.
Mais il n’auraient pas dû jouer la sonate de Brahms,  car ils n’ont pas su rendre justice à cette musique sublime.

17/02/2008

Pas d'opéra

42c4d69bf31556b2521d33ebba867584.jpgSamedi, j’ai voulu aller voir l’opéra Manon Lescaut (avec Karita Mattila, photo, dans le rôle titre) du Metropolitan au cinéma Jonquière: projection annulée. Le jeune caissier était incapable d’expliquer pourquoi, sauf à dire que l'équipement était défectueux. C’était la deuxième fois en ce qui me concerne, car la projection de Hansel et Gretel (du 26 janvier) avait aussi été annulée.
Pour une fois que nous avions droit à quelque chose de fabuleux au cinéma, rien ne va plus. Partout au Québec, aux États-Unis et dans le monde, ces projections  connaissent un immense succès.
Sûr que ce n’est pas le cas à Jonquière. Entre autres parce que les propriétaires de Ciné-Entreprise semblent faire tout ce qu’ils peuvent pour cacher l’existence de ces projections d’opéra au public de la région. Il n'ont pas annoncé la chose, fait aucune publicité, et répondu avec réticence aux journalistes qui cherchaient à obtenir des informations là-dessus.

C’est quoi ce niaisage, messieurs Papalia?
Chers lecteurs, si vous vous êtes heurtés à ces annulations sans explication, et si vous trouvez que cette situation est inacceptable,  je vous suggère de protester officiellement en vous rendant sur le site de Ciné-Entreprise.

Une fois rendu sur la site, cliquez sur le lien "commentaire" et lâchez-vous lousse.

Kosovo libre!

bc2f1f4433f065aab628eb1e148fac27.jpegJe suis jalouse des Kosovars, citoyens du Kosovo, un pays qui vient de proclamer son indépendance, au nez et à la barbe de tous ceux qui ont voulu l'en empêcher.

Qu'attendons-nous, nous les Québécois, pour suivre cet exemple?