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20/09/2009

Outils de travail

iconeSmultro.pngUn de mes passe-temps: la création de pages web. Je suis en train de concevoir un site dont je vous reparle bientôt.
Mais dans cette note je veux surtout parler des outils que j’utilise. Après moult essais d’outils gratuits ou non, je me rends compte que les éditeurs de pages web comme Dreamweaver, KompoZer, ou même iWeb pour Mac me compliquent la vie plus qu’autre chose.
Tout ce dont j’ai besoin, c’est d’un simple  éditeur de code (HTML, Javascript et CSS, essentiellement). Rien de compliqué: couleurs pour  identifier les parties du code, accès à un aperçu de la page en cours de conception. Plus les fonctions copier, coller et autres du MAC (une page de travail ressemble à l'image ci-contre).pageSmultron.png
Pour le reste, j’aime mieux avoir les mains dans le cambouis, comme on dit. Alors pour les pages web, mon outil préféré est Smultron pour Mac (c'est son icône en haut à gauche), un programme très simple, complet, et que je comprends bien. Malheureusement, l’auteur vient d’annoncer qu’il ne fera plus de mise à jour de Smultron: le logiciel deviendra donc peu à peu moins performant et, ultimement, inutilisable. Mais j’espère pouvoir m’en servir pendant encore quelques années .

J'utilise aussi Web Developper, un module complémentaire de Firefox, qui affiche une barre d'outils et des menus permettant d'analyser les différents éléments d'une page Web et de simuler des modifications à son code (HTML ou css): un très précieux outil, extrêmement utile quand je veux voir ce qui arriverait si...
Pour l’écriture de textes non destinés au Web, j'utilise Microsoft Word quand je veux contrôler la présentation d'un texte. Mais je commence souvent par écrire au kilomètre, des brouillons, des listes de choses à faire, ou encore des notes pour ce txeditPlusIcn.jpgblogue, à l’état d’ébauche avec des liens: pour cela mon traitement de texte préféré est Tex-Edit Plus (disponible en français), à ne pas confondre avec TextEdit, l’éditeur de texte fourni avec le Mac, qui n’est pas mal, mais avec lequel je me sens moins à l’aise.
Tex-Edit Plus est une assez vieille chose, pas souvent mise à jour, mais qui fonctionne parfaitement. Il comprend des modules AppleScript (on en trouve d’autres ici) efficaces et faciles à utiliser.
Pour écrire un texte, je l’affiche en gros caractères, sans formatage autre que la fenêtre, la famille et la taille de police: je n’ai besoin de rien de plus. De plus, je peux faire du copier-coller de TEP vers Haut et Fort pour ce blogue, ce que l’on ne pouvait pas faire avec Word jusqu'à tout récemment. (Une option de collage spécial à partir de Word a été récemment ajoutée à l'éditeur Haut et Fort).
La complexité et la belle mise en page sont également possibles avec Tex-Edit Plus, mais ce n’est pas cela que j'y cherche.
Simplicité, efficacité, stabilité: que demander de plus à un logiciel?

14/09/2009

Internet arrive!

siteInternet.jpg

La plupart des gens aujourd'hui auraient de la difficulté à fonctionner sans Internet. Les jeunes croient que les ordinateurs et le Web ont toujours été là.

Mais ce n'est pas le cas. Voici un texte que j'ai écrit dans

le Progrès-Dimanche en février 1995, aussi bien dire en des temps préhistoriques. J'étais moi-même un dinosaure...

 

Internet bientôt accessible dans la région
par Denise Pelletier

CHICOUTIMI (DP) - D'ici une semaine ou deux, les citoyens du Saguenay-Lac-Saint-Jean pourront être reliés au réseau Internet. Jusqu'ici, cet accès était réservé au seul personnel de l'Université du Québec à Chicoutimi.
Roger Fong, informaticien et professeur au cégep de Chicoutimi, est en train de mettre sur pied un serveur qui rendra Internet accessible au grand public. Il faudra toutefois remplir certaines conditions, comme posséder un ordinateur (Macintosh ou PC sous Windows), un modem, et un logiciel d'accès graphique tel Mosaic ou Netscape, permettant de recevoir des images.
Il faudra aussi payer pour ce service, soit des frais d'accès de 30$ et ensuite, 35$ par mois comprenant dix heures de temps de communication. Cela peut sembler cher mais Roger Fong fait remarquer que comme il s'agit d'un abonnement au mois, les clients pourront s'abonner pendant un mois ou deux, utiliser Internet au maximum pendant cette période, puis interrompre l'abonnement pendant un certain temps, ce qui permettra de limiter les dépenses.
leChatInternet.gifIl s'agit pour lui et son associée Réjeane Rivard d'un investissement d'un peu moins de 100 000$, comprenant l'équipement et l'achat d'un lien avec Internet à Montréal. «Je ne pense pas devenir millionnaire avec ça», dit-il, soulignant qu'il lui faudrait quelques centaines d'abonnés dans la région pour faire tourner son entreprise. Roger Fong ne peut pas encore donner de date exacte, car la mise en service est assez complexe et il doit procéder à plusieurs ajustements, mais il assure que c'est pour très bientôt, dans quelques semaines tout au plus.
L'intérêt semble être là, dit Roger Fong, qui a reçu plusieurs appels téléphoniques après avoir placé une annonce classée dans le Progrès-Dimanche. Il voit comme clients potentiels des individus ayant des intérêts spécifiques, qui veulent faire des recherches, communiquer avec d'autres abonnés du réseau, recevoir chez eux des images, des jeux vidéo, des logiciels, de la musique.
Ou encore des gens d'affaires ou des entreprises qui pourraient ainsi communiquer avec diverses parties du monde pour un coût moindre que le téléphone ou le «fax».
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N.B. M. Roger Fong est encore actif dans le domaine, si j'en crois mes informations.