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07/07/2012

Boum-boum boutique

boutiqueMode.jpg

Parfois je me pointe à l'entrée d'une boutique qui a l'air de proposer des choses intéressantes... mais je n'y entre pas et passe mon chemin.

Pourquoi? Parce que, alors même que je me tiens encore à l'extérieur du commerce, la musique m'agresse.

BOUM... BOUM... BOUM !

Je ne parle pas d'une petite musique de fond, mais de rock, de pop et autres nullités, en anglais et à fond la caisse. Je n'imagine même pas essayer de me faire entendre d'une vendeuse, je devrais crier et je déteste ça.

Il s'agit souvent de boutiques mode pour jeunes. Je dois être trop vieille. Trop vieille pour ce joli débardeur, ces sandales montantes ou ces bracelets colorés aperçus en vitrine. Ils iront à une autre que moi.

Tout ce son pour meubler le vide... commercial.

Musique agressive

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Au restaurant, quand les convives prennent du vin et que le volume des conversations est au maximum, les employés se croient obligés d'en rajouter en diffusant de la musique par les haut-parleurs. On ne l'entend pas, on l'enterre... mais elle joue!

Musique inutile

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À la télé, au moment où l'inspecteur (Poirot par exemple) dévoile le nom du coupable, où le noeud d'une intrigue passionnante est dénoué...

BOUM! la musique entre en scène et enterre le dialogue. Frustrant...

Musique nuisible

29/06/2012

Un accident de... chien!

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Petit incident aujourd'hui avec Loula, la chienne de mon fils, dont Jack parle, ou plutôt que Jack fait régulièrement parler sur son blogue, par exemple ici.

Comme nous devons la garder quelques jours et que n'ai pas beaucoup d'expérience avec les chiens (lisez la suite, vous verrez à quel point!), je voulais apprendre comment aller me promener avec elle en tenant sa laisse.

La laisse entourée autour de ma main, je sors sur la galerie avec elle et mon fils. Ce dernier tente de m'avertir qu'elle va descendre l'escalier très vite... trop tard!

Le chien dégringole les trois marches en quatrième vitesse, avec moi accrochée à l'autre bout de la laisse. Je réussis à rester debout dans l'escalier, mais une fois en bas, le chien continue à courir et moi je ne peux plus suivre. Je m'étale de tout mon long sur l'asphalte... avant de réussir enfin à lâcher la laisse.

D'ailleurs Loula a cessé de courir... elle me regarde en ayant l'air de se demander qu'est-ce que je peux bien faire là, couchée par terre.

Je me suis légèrement râpé le côté droit: genou, coude, joue... et une branche de mes lunettes.

J'étais un peu sonnée, mais enfin, ce n'était pas vraiment grave. Ça aurait pu être pire. Mon fils était tout mal, mais ce n'était vraiment pas sa faute... il avait d'ailleurs essayé de m'avertir du danger.

Ensuite il m'a montré comment tenir la laisse à deux endroits, pour éviter que Loula puisse prendre un élan... et décoller en m'entraînant derrière elle.

 

17/06/2012

La pluie et le beau temps

Aujourd'hui, quand on veut savoir quel temps il fera, on écoute Miss (ou Monsieur) Météo à la télé, ou sinon, on consulte Météomédia sur son iPhone ou son iPad. On peut alors connaître non seulement la météo actuelle (parfois le site indique qu'il pleut, et si on regarde dehors, on voit briller le soleil!), mais aussi quel temps il fera la nuit prochaine, demain, dans deux, trois, et même dix ou quinze jours.

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Quand j'étais jeune (avant même l'arrivée de la télévision!), pour prévoir le temps, il y avait le baromètre. Mon père en avait accroché un dans la maison: il fallait le frapper légèrement avec le doigt replié pour faire décoller l'aiguille.

Pas besoin de savoir lire le nombre indiquant la pression atmosphérique, car par-dessus les chiffres, la prévision était écrite en toutes lettres sur le cadran circulaire. Au centre, c'était variable. Vers la gauche en haut: pluie. Vers la gauche en bas: tempête. À droite en haut: beau, et à droite en bas: très sec.

En lisant ce passage d'une chronique de Josée Blanchette,

Plus le temps passe et plus certains objets qui m’entourent se démodent. Mes cartes routières dans l’auto, le baromètre dans l’entrée, sur lequel mon père tapotait de l’index comme pour le réveiller...

j'ai réalisé qu'il y également un baromètre dans la maison que j'habite aujourd'hui (c'est lui, sur les photos de cette page). Je l'ai offert à mon mari il y a bien longtemps, pensant sans doute comme mon père qu'on ne peut vivre sans cet instrument. Je l'avais acheté à Place du Royaume, dans une boutique d'objets de cuir qui n'existe plus. Comme c'est souvent le cas pour ce genre d'objet, le baromètre est placé au centre (vertical), entre un hygromètre et un thermomètre. Pression, humidité, température: voilà des informations essentielles, non?

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Je crois bien être la seule à le consulter encore. Pas tous les jours, mais quand je m'interroge, quand on annonce un violent orage, je frappe légèrement la vitre... et l'aiguille plonge!

Parfois Météomédia dit qu'il fera beau, mais mon baromètre descend: alors je sais que Météomédia se trompe, du moins pour les heures qui viennent...

Cet objet fort sympathique fait donc partie de ma vie depuis très longtemps... si longtemps que je ne pensais plus à lui.

Mille excuses, Monsieur le Baromètre!

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Cet article fort intéressant du magazine Psychologies (mai 2012) nous explique pourquoi nous sommes obsédés par la météo.

29/05/2012

Clichés de Québec

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Le 17 mai dernier, en attendant de voir l'opéra Falstaff, j'avais quelques heures à tuer dans le Vieux-Québec. Temps frisquet, alternance soleil-nuages et... beaucoup, beaucoup de monde.  Pas mal de jeunes écoliers anglophones, excités et bruyants, en voyage de fin d'année. J'ai même entendu une guide expliquer la Fresque des Québécois en allemand à un groupe de touristes.

J'ai pris quelques photos avec mon petit appareil numérique. J'aime bien celle ci-dessus, avec Notre-Dame-des-Victoires tout au fond. Sur le haut mur à droite, ce sont des fenêtres en trompe-l'oeil qui font partie de la fresque murale (en revanche les gens sur la photo, ce sont des vrais!)

Je me suis assise quelques instants dans le parc près du Petit-Champlain:

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Encore la Fresque des Québécois, vue de la Côte de la Montagne:

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 Et une autre vue sur le fleuve:

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C'était un voyage (très bien) organisé par Gisèle Munger: aller-retour du Saguenay en autobus, repas et opéra. Avant de nous rendre au Grand Théâtre, nous avons mangé au restaurant Spag&tini, spécialisé dans les groupes... et des groupes, il y en avait! Malgré le temps frais, j'ai pris l'apéro avec quelques compagnons de voyage sur la terrasse... bien chauffée. Un excellent repas, d'ailleurs, du potage au dessert. Tout a été rondement et nous avons eu beaucoup de plaisir.

12/05/2012

Des générations

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Quatre générations!!! Le petit Mattéo, avec son père Fabrice, sa grand-mère Denise (moi!), et son arrière-grand-père Maurice. C'est émouvant cette filiation, je trouve.

Je vois aussi d'autres éléments intéressants sur cette photo (de qualité moyenne je dirais).  Sur le mur au-dessus de nous, les lettres "etc" semblent désigner tous les autres membres de la famille, les ancêtres et les descendants possibles.

D'ailleurs la petite photo à droite est celle des parents de mon conjoint Jacques (le père de Fabrice) prise lors de leur 50e anniversaire de mariage (tous deux sont décédés, tout comme ma mère).

En haut à gauche, on voit un morceau d'une gravure réalisée par Dominique Bouchard, frère de Jacques, et donc grand-oncle de Mattéo. Voici l'oeuvre en entier:

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Et je pourrais ajouter que le miroir à la lune répond à un miroir en forme de soleil accroché sur un autre mur du salon (faudrait un jour que je fasse le compte des innombrables miroirs qui se trouvent dans notre maison!): ils encadrent notre constellation familiale!!!

08/05/2012

Étrange Russie

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En 1993, j'ai fait un voyage en Russie, essentiellement à Saint-Pétersbourg, avec un groupe de Québécois. J'ai évoqué ce voyage ici, dans un billet consacré à une belle action du chanteur Claude Dubois.

J'évoquerai d'autres aspects de cette expérition dans quelques billets à venir.

Par exemple cet incident survenu à notre hôtel, un ancien centre des jeunesses communistes, absolument Russie, Saint-Pétersbourg, thé, incident, épouvantable, puant, mal chauffé. Et pas mal plus accueillant pour les coquerelles que pour les clients. Très difficile de communiquer avec l'administration et les autres employés: ils ne parlaient ni français ni anglais, et ne faisaient aucun effort pour nous renseigner, nous expliquer les choses. ll y avait des surveillantes postées à chaque étage, près de chaque porte de communication entre les sections. Ces matrones ne faisaient rien, sauf surveiller, et parfois nous dire bonjour et bonsoir (en russe).

Un jour l'une de mes compagnes de voyage ne se sent pas très bien et décide de rester à l’hôtel pendant que le groupe (nous sommes une dizaine) ira visiter quelque site touristique.
Donc elle passe la journée dans sa chambre et réussit, je ne sais comment, à commander du tchaï (thé): une théière remplie de liquide fumant, et une tasse,Russie, Saint-Pétersbourg, thé, incident, comme elle nous le raconte à notre retour.
Un peu plus tard, nous constatons que l’hôtel est tout à l'envers: le personnel en émoi gesticule, parle fort, nous fait de gros yeux, on se demande si c'est encore la révolution, ou quoi! Puis, après moult gesticulations, cris et tentatives de traduction, nous finissons par comprendre la raison de ce remue-ménage:

notre amie n'a pas rapporté la théière et la tasse!

Elle a fait comme on fait toujours à l’hôtel: elle a laissé tout ça dans sa chambre, se disant que la femme de chambre allait récupérer et rapporter ces objets -sans grande valeur je le précise- à la cuisine.
Mais non, ça ne marche pas comme ça. Soupçonnée d’avoir volé la théière, de vouloir la rapporter dans ses bagages, la vendre avec profit, que sais-je encore? Un peu plus et notre compagne était arrêtée, envoyée au goulag ou expulsée du pays... et nous tous avec elle!

La responsable de notre groupe a finalement réussi à calmer les esprits, mais nous n'avons jamais réellement compris pourquoi le personnel de l'hôtel s'était énervé ainsi. Et nous nous sommes sentis davantage surveillés après cet incident.

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28/04/2012

Ma violence au hockey...

J'ai évoqué dans ma précédente note un coup reçu à la tête alors que je jouais au hockey dans la rue. Voici les détails.

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(Richard Brodeur: Rue St-Paul)

 

Le cadre: une partie disputée rue Maxwell à Arvida, devant notre maison, avec mon frère Pierre et une demi-douzaine d'enfants du voisinage, par un beau soir d'hiver après le souper. J'ai environ neuf ans et comme d'habitude, je suis la seule fille.

Je garde les buts, délimités par deux amas de neige, dans l'équipe de mon frère. Devant moi, ce dernier prend son élan pour un lancer-frappé vers le but adverse. Il lève son bâton loin derrière lui... et paf, je me prends la palette en plein sur la tempe.

Je n'ai pas vraiment mal, mais je suis un peu étourdie. Tout de suite une superbe prune commence à se former au-dessus de mon oeil droit. Je n'en veux pas à mon frère, qui manifestement ne l'a pas fait exprès.

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Gary Patterson: The Check

Nous rentrons à la maison, fort penauds. Mes parents s'inquiètent un peu de cet oedème si près l'oeil. Mon père m'emmène à l'unité sanitaire sur la rue Moritz. L'infirmière applique de la glace sur le bobo et me conseille de poursuivre ce traitement afin d'éviter que ça enfle davantage. Il n'y a rien d'autre à faire.

Comme la blessure n'est pas ouverte, le sang ne peut s'écouler et l'hématome devient vraiment énorme, gros comme un oeuf. Pendant les jours suivants, le sang descend peu à peu dans ma paupière, qui se ferme et prend les teintes les plus variées: rouge, bleu, jaune, vert, violet, noir...

Ce coquard n'est pas très présentable à l'école, alors je couvre le tout d'un cache-oeil de pirate, ce qui me donne un petit genre... pirate que je ne déteste pas. Et qui attire sur moi l'attention de mes compagnes et de la maîtresse:

voilà, ce fut mon heure de gloire.

Et la fin de ma carrière au hockey!

20/04/2012

Je (re)vois des étoiles

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Le Centre des sciences de Montréal présente depuis quelques jours une exposition consacrée à Star Wars. J'irai sûrement la voir, même si je ne suis pas certaine qu'elle me plaira, car, dit-on, les films et les personnages de Georges Lucas servent à explorer le thème de l'identité:  c'est peut-être intéressant, je verrai.

La Guerre des étoiles, pour moi, ce fut une belle aventure. Avant de voir le film, j'aimais et lisais beaucoup de romans de science-fiction. Mon mari et moi les dévorions, surtout pendant nos études à Aix-en-Provence: ceux d'Isaac Asimov,  d' A. E. van Vogt, de Clifford D.Simak entre autres. J'avais vu quelques films: Solaris, Le voyage fantastique, j'avais aimé THX 1138, de Georges Lucas et détesté 2001 : l'Odyssée de l'espace. Cependant je ne retrouvais pas dans ces films l'atmosphère et les décors des romans: je les trouvais trop centrés sur les Terriens et leurs problèmes. Même la série télévisée Patrouille du Cosmos (Star Trek), qui faisait pourtant la part belle aux planètes lointaines, me semblait trop teintée d'anthropomorphisme(!)

En 1977, à Montréal, mon mari me propose d'aller voir un film de science-fiction qui vient de sortir: il a lu des articles élogieux, moi je n'en ai jamais entendu parler.  La Guerre des étoiles!  Quel bonheur! Enfin de la science-fiction comme je l'aime. Enfin des voyages intergalactiques à bord de vaisseaux sophistiqués, des combats grandioses, des planètes,  des effets spéciaux et des images spectaculaires. (Aujourd'hui, tout cela nous semble dépassé: même les images du film trouvées sur Internet sont de mauvaise qualité!). Il y avait des humains, certes, mais ce n'étaient pas des Terriens! Et il y avait aussi beaucoup d'extraterrestres, effrayants ou sympathiques. Et des robots!

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Avec en plus une belle histoire, à la fois complexe et rondement menée, et des personnages attachants: comme Luke Skywalker, Dark Vador, la princesse Leia, Yoda, Obi-Wan Kenobi,  Han Solo (mon préféré, il était tellement beau!), Chewbacca,, R2-D2 et C-3PO.

 

Conquise, j'étais.

 

La Guerre des étoiles est le premier film que j'ai vu (revu plutôt) quand nous nous sommes abonnés à la télévision payante, quelques années plus tard. Fiston, quatre ans, a fort apprécié lui aussi et a écouté la cassette des dizaines de fois.

Aussi quand le deuxième épisode, L'Empire contre-attaque, fut projeté  à Chicoutimi (au cinéma Cartier, démoli depuis, si je me souviens bien), je m'y suis rendue avec fiston. Une grosse déception nous attendait: on a refusé d'admettre mon jeune de six ans, car le film était destiné aux huit ans et plus! J'ai discuté un peu avec le gérant... rien à faire. Nous sommes rentrés à la maison bien piteux.

Bien entendu, il  a quand même vu le film... à la télévision, quelque temps plus tard. Peut-être que c'était en effet un brin violent pour un jeune de son âge... Mais pour lui, pour moi, pour son père, ce fut une aventure formidable, qui a fait voyager en famille dans les étoiles.

02/04/2012

La chevauchée fantastique...

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C'est bien moi sur ce petit âne. Une excursion mémorable en 2006, lors de notre voyage en Grèce. Comme la plupart des autres membres du groupe, j'avais choisi le "péti-âne" (comme le prononçait la guide à bord du bateau) pour faire l'ascension d'une pente abrupte, dernier segment du chemin menant à l'Acropole de Lindos, sur l'île de Rhodes où nous avions fait escale.

Toute une expérience. Les "péti-ânes" étaient très énervés, et quasi-impossibles à contrôler une fois lancés vers le sommet. Ma monture, un mâle excité par la croupe des femelles, leur courait après sans trop se préoccuper de moi. D'ailleurs nous, les passagers, devions faire très attention à ne pas laisser écraser une de nos jambes entre deux ânes.

Montée dans le désordre et la bousculade, étroit sentier au bord d'une falaise escarpée. Nous étions en danger, sans bien nous en rendre compte. Un faux mouvement trop ample, un péti-ane qui prend le mors aux dents, et nous dégringolions tous au fond du précipice. Sauf mon conjoint, qui avait sagement choisi de monter par les escaliers.

Je vois d'ici les manchettes: "25 touristes québécois périssent dans un accident d'âne en Grèce."

J'ai été récompensée de mes peines toutefois: de là-haut, la vue en plongée sur la crique, avec son eau si calme et si bleue, était magnifique.

 

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 (Photo: M0ttylicense Creative Commons)


Sans parler de la splendeur de ce site archéologique, avec le temple d'Athéna Lindia et tous les autres vestiges. Aujourd'hui, les frissons et sueurs froides éprouvés pendant ma balade asinienne se sont transmués en un souvenir plaisant.

Jack a publié sur Facebook quelques autres photos de ce merveilleux voyage en Grèce et en Turquie, retrouvées au fond d'une armoire que nous avons entrepris de ranger: nous deux à Éphèse ici. Et moi en gros plan.

13/03/2012

Une sieste aux Tuileries

IMG_0700.JPG(Pour aider les uns à saluer le soleil et consoler les autres de la grisaille, je reprends ici un billet déjà publié).

La pluie avait cessé et le soleil pointait timidement, par un beau jour d'octobre au Jardin des Tuileries, à Paris. J'ai capté ce moment magique, le total abandon de cet homme endormi dans le paysage.