24/06/2015
Fêtons-nous quand même
Comme par les années passées, ma note du 24 juin est pour vous souhaiter, nous souhaiter à tous une
Bonne fête nationale
du Québec
Nous pouvons déjà être fiers de notre drapeau. Mais j'espère (malgré tout...) qu'un jour nous pourrons en être encore plus fiers: ce sera celui de notre pays.
Le 24 juin, c'est en général une journée de farniente. Pas d'activité particulière. Un peu de rangement, un peu de popote, ordi, radio, télé, bière, vin...
Lecture aussi: je vais continuer à lire le plus récent roman de Donna Leon: Le garçon qui ne parlait pas. L'action se passe à Venise, comme celle de ses autres récits, que j'ai tous lus. Mi-polars, mi-portraits sociologiques, avec de fines observations sur la vie italienne, sur les moeurs vénitiennes, j'adore.
J'écris paresseusement un billet (celui-ci) pour mon blogue. Peu d'effort, beaucoup de copier-coller: il ne durera guère plus que ce que durent les roses.
J'aime bien cette idée de ne rien faire, de laisser le temps filer, de regarder les heures passer, sans projet particulier. Un peu comme le lendemain de Noël.
Alors Bonne fête à tous les Québécois
Bonne journée, amusez-vous bien.
Et si ça vous chante, écoutez ces propos de Fred Pellerin:
...pour nous faire réfléchir à notre avenir collectif.
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