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28/11/2007

Alma... pater

3dce6b4ee3db60883991e1b806f2b9ac.jpegMon père devait voir un ophtalmologiste pour vérifier s’il doit être opéré pour la cataracte. Comme c’est très long d’avoir un rendez-vous à Chicoutimi, son optométriste (bureaux à Jonquière) lui a suggéré d’aller à Alma et a appelé lui-même pour prendre le rendez-vous avec le Docteur Marc Carrière (délai d’un mois au lieu de six à Chicoutimi).
C’était un mardi-après-midi, en pleine tempête, nous avons pris la RAV-4 (merci Jacques) tout a bien été. Il neigeait très fort à Jonquière, et à Alma presque pas.
Papa avait rendez-vous à 14h20, il est passé à 14h20 pile. Quand on pense qu’à Chicoutimi, quand on va chez l’ophtalmo, il faut se préparer à attendre au moins une heure et demie avant de passer, quand ce n’est pas plus. (J’avais apporté deux magazines, je n’en ai pas lu une seule ligne!)
Le docteur Carrière a l’air très jeune. Il n’a pas de secrétaire: il va chercher lui-même les dossiers des patients, il les appelle au micro. Il est rapide aussi: il expédie chaque patient en dix minute ou à peu près.
Et je ne sais pas s’il est bon: il n’y a qu’un seul commentaire -favorable- sur le site rate MDs :  http://ratemds.com/social/
Bref, à l’hôpital d’Alma, tout va rondement. Les salles d’attente étaient presque vides. On me dira que l’hôpital est plus petit que celui de Chicoutimi, je veux bien.
Tout le monde sait ça... sauf le personnel de l’hôpital de Chicoutimi. Ils ont toujours l’air surpris de voir autant de monde. Surpris et débordés...
En tout cas, au retour de cette équipée, je n’ai pas oublié d’arrtêter à la fromagerie Saint-Laurent, à Saint-Bruno, pour m’y acheter une livre de bon fromage cheddar. Miam!

24/11/2007

Homère actuel

33234f6b0bee2a2c0116f4d92f97db53.jpegÉté voir l’Iliade à l’auditorium Dufour, par un soir de grande tempête. Production du TNM, adaptée et mise en scène par Alexis Martin, avec François Papineau et 11 autres comédiens qui pour la plupart jouent plus d’un rôle. La même équipe avait proposé l’Odyssée, toujours d’après Homère, dans la même salle, que j’avais vu en 2000 je crois.
Proposition différente: costumes modernes, un café grec garni de tables et de chaises comme décor au sol, grandes tiges de bois qui forment un étage supérieur, découpé en espaces-cages où évoluent les dieux.
C’est la vie des hommes cruels, ils se battent torse nu, animés par l’orgueil, la jalousie, l’amitié et la colère, cette colère d’Achille qui domine tout, qui se décuple quand son ami Patrocle est tué, et que même les dieux n’arrivent pas à  apaiser. Même en guerre, Grecs et Troyens se ressemblent, leurs femmes aussi, pleureuses qui subissent les effets de ces affrontements entre mâles.
Tout n’était pas parfait, peut-être un peu complexe pour les non-initiés, mais mon mari et moi qui vivons encore sur le “buzz” du voyage en Grèce effectué et 2006, et sur nos acquis du cours classique,  avons beaucoup aimé le spectacle. Et quel texte sublime!

Mes notes:
Mise en scène: 4.2
Jeu des comédiens : 4 (inégal)
Costumes et décors: 4.2
Note générale: 4.3

22/11/2007

Fromage en plastique

96aa03747b82616494ec6104bd811cdf.jpegJ’aime bien le fromage cheddar, mais plus j’en mange, plus je lui trouve un arrière-goût de plastique. Et cela ne dépend pas de la marque, c’est la même chose que ce soit du Boivin, du Perron, du Saint-Laurent.
C’est plutôt une question d’emballage. Même mis en sac le jour même, quand on l’achète au supermarché, il goûte -et parfois assez fort- le plastique.
J’en suis rendue à enlever le tour et le dessus du morceau, qui ont été en contact avec le sac, et à placer ce qui reste dans un autre sac, de plastique lui aussi, mais qui ne laisse pas de goût.
L’été dernier en revenant d’une promenade à vélo, je suis arrêtée avec mes amies à la Fromagerie Saint-Laurent, située à Saint-Bruno, et j’y ai acheté une livre de cheddar frais. L’emballage était aussi de plastique, mais assez épais, scellé à chaud et sous vide je crois bien.
Le fromage était délicieux et il l’est demeuré pendant une semaine, même au frigo, dans son emballage d’origine placé dans un contenant euh... de plastique,  bien fermé.
C’est là que j’ai vu la différence avec ces morceaux de fromage prélevés sur de grosses meules et fourrés dans un sac plastique de piètre qualité.
En outre, s’il est emballé chaque jour au spupermarché, il n’est pas nécessairement fabriqué le jour même, contrairement à la fromagerie, où on achète vraiment la production sortie des bassins quelques heures auparavant.
Des suggestions, quelqu’un?

18/11/2007

Me revoilà!

Une seule personne m'a envoyé un commentaire pour me demander de ne pas cesser d'écrire sur mon blogue. Il s'agit de Christiane Laforge, ex-collègue (elle travaille encore au Quotidien et au Progrès-Dimanche) et toujours amie, qui tient elle même un blogue au

http://www.oragesurocean.blogspot.com

 

Donc, merci à Christiane, de ma part et de celle de mes éventuels lecteurs. Ce beau geste suffit pour me faire revenir sur ma décision et m'inciter à maintenir mon blogue en activité.

Cependant, je vais procéder différemment à partir de maintenant, histoire de ne pas trop me mettre de pression. Je vais tenter de me limiter à quelques lignes à la fois, et à un plus petit nombre de contributions.

Aujourd'hui je suis allée voir Guerre, la pièce de Lars Norén montée par la troupe les Têtes heureuses et présentée au Petit Théâtre de l'UQAC.

Maginfique production. Oeuvre profonde, jeu et mise en scène qui viennent nous chercher. Sur les effets internes et intimes de la guerre.

Tiens, je vais tenter de donner des points pour les spectacles (sur un maximum de 5).

Guerre, de Lars Norén, par la troupe les Têtes heureuses

Mise en scène (Rodrigue Villeneuve): 5

Jeu des comédiens:     4.5

Décors et technique: 4.5

Note générale: 4.7